Oh, je voudais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis
En ce temps-là la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui
Nous n'avions pas même pas de voisins, avions les poneys pour témoins et sans peur du lendemain, nous marchions main dans la main . Les ornières de la route, nous y sautions les pieds joints. Le droit de passage ne faisait aucun doute : nous lévitions sur le chemin ......Mais depuis que tu es parti, les moutons se sont pétrifiés , la boreen n'est plus empierrée , et mon coeur fait l'affolé .
Deux photos d'Hagen Schmid
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