Sri Yukteswar Giri

 

Years in my Master's Hermitage

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"My family name was Priya Nath Karar. I was born here in Serampore, where Father was a wealthy businessman. He left me this ancestral mansion, now my hermitage. My formal schooling was little; I found it slow and shallow. In early manhood, I undertook the responsibilities of a householder, and have one daughter, now married. My middle life was blessed with the guidance of Lahiri Mahasaya. After my wife died, I joined the Swami Order and received the new name of Sri Yukteswar Giri. Such are my simple annals."

Master smiled at my eager face. Like all biographical sketches, his words had given the outward facts without revealing the inner man.

"Guruji, I would like to hear some stories of your childhood."

"I will tell you a few—each one with a moral!" Sri Yukteswar's eyes twinkled with his warning. "My mother once tried to frighten me with an appalling story of a ghost in a dark chamber. I went there immediately, and expressed my disappointment at having missed the ghost. Mother never told me another horror-tale. Moral: Look fear in the face and it will cease to trouble you.

"Another early memory is my wish for an ugly dog belonging to a neighbor. I kept my household in turmoil for weeks to get that dog. My ears were deaf to offers of pets with more prepossessing appearance. Moral: Attachment is blinding; it lends an imaginary halo of attractiveness to the object of desire.

"A third story concerns the plasticity of the youthful mind. I heard my mother remark occasionally: 'A man who accepts a job under anyone is a slave.' That impression became so indelibly fixed that even after my marriage I refused all positions. I met expenses by investing my family endowment in land. Moral: Good and positive suggestions should instruct the sensitive ears of children. Their early ideas long remain sharply etched.".

Autobiography of a yogi by Paramhansha Yogananda

Reflexion sur la Pleine lune du Cancer

  Constellation du Cancer 2023

 

La note-clé du Cancer fait référence à la maison. La conscience de masse s’exprime particulièrement dans ce signe d’eau. On peut observer que l’Humanité est encore très émotionnelle dans ses réactions, souvent fondées sur la peur, l’instinct prenant le dessus sur la conscience.

Les médias apparus au 20ème siècle représentent un puissant outil d’influence sur la société, auxquels il faut ajouter aujourd’hui les réseaux sociaux numériques. Demain s’additionnera également l’influence de l’intelligence artificielle. Tous sont des instruments qui jouent un rôle dans la construction de l’opinion publique. De plus, la conscience de masse intègre tous les conditionnements sociaux, culturels, idéologiques et religieux véhiculés par les traditions.

    Simultanément, nous vivons à une époque d’émancipation individuelle qui amène chacun de nous à se libérer du poids des traditions. Bien entendu, tout ce qui est ancien ne doit pas être rejeté, mais il est important pour le développement de la conscience individuelle que chacun évalue les valeurs inhérentes aux usages et conditionnements pour ne garder que ce qui est conforme au Plan d’évolution. 

    Nous sommes à l’aurore de la vie du Verseau, celle de l’Amour et de la Sagesse. Pour cela, Il a fallu le réveil des peuples et celui de nombreux êtres humains. Ce grand changement est dû à la participation de chacun qui, d’une manière plus ou moins claire, a amené sa conscience à s’éveiller vers d’autres réalités. Le poids de chaque vibration de conscience dans la bienveillance mène l’humanité vers ce grand changement.

    Notre monde a aujourd'hui deux visages : l’ancien rempli d’orgueil et de vanité qui a pour attitude de valoriser le laid, dans son langage, ses actes et sa pensée ; puis le nouveau qui considère le côté intelligent et merveilleux de la vie, rempli de bonnes intentions et d’Amour pour tout ce qui est vivant. 

    En attendant, le monde aux deux visages va muter en passant dans une autre dimension vibratoire. Ces deux univers vont percevoir en eux un vrai changement intérieur. La seule aide que nous pouvons prodiguer à l’ancien monde est le détachement total, sans jugement, sans critique. Il devrait tout naturellement s’effondrer car sa vibration n’est plus assez élevée.

    Au cours de cette immense remise en question, d'anciennes habitudes peuvent revenir, mais ne nous laissons pas tenter, restons purs. Tenons-nous dans cette vibration d’Amour-Sagesse qui rayonne au sein du système solaire et dont nous sommes les émissaires. Osons appréhender ces valeurs comme un état de fait, et la morale comme une marque de Bien. Osons montrer l’exemple de la belle parole, du bel acte, du Beau en toutes choses. Le mal va au fur et à mesure changer, car la lumière rayonnera sur lui.

    L’ancien monde tombera, emportant dans sa chute une hiérarchie corrompue à tous les étages. C’est plus qu’un « système », mais un monde de nouveautés qu’il incombe aux hommes de bonne volonté de reconstruire avec altruisme. Les corps vont s’épurer, comme la Terre qui, elle aussi, sous cette forte vibration, va être secouée. Les animaux vont changer leur attitude, car ils ne percevront plus les mêmes signaux, 

     Les temps qui viennent sont prometteurs en grands bouleversements tant physiques que spirituels. Ils sont un événement marquant dans la progression de la Vie au sein de notre système solaire. Le monde n'est pas autre chose que nous, il est en nous. C’est l’heure d’entrer dans l’acte divin, l’unité des âmes, sans plus s'attacher aux errements de la société d’aujourd’hui, mais en engageant fermement le futur dans la confiance du Plan Divin. C'est un apprentissage difficile mais nécessaire. 

     Et malgré la souffrance des hommes, ceux qui auront foi dans le Plan Divin s'inscriront dans ce Plan, dans le Futur de tous, dans l’aura de la Hiérarchie et ils poursuivront leur voie de disciples du Christ, disciples du monde. Ce qui est demandé est de ne pas perdre la Foi, de garder la même vibration rayonnante d’Amour et de préserver sa stabilité en tous lieux. Lorsque le corps est habité, la Lumière de l’âme est la Porte d'entrée de la maison illuminée. 

- Pleine lune du Cancer – lundi 3 juillet 13h39 -

Constellation du Cancer 

L'An 3000

 

Pleine lune du Cancer

Energie de la Constellation du Cancer           

 

Pleine Lune le lundi 3 juillet  à 13 h 39 en France , 12 h39 en Irlande 

Note-clé du signe : " Je bâtis une maison illuminée et je l'habite "

 

Deux Energies :

- l'Intelligence active - Philosophie           

- le Rythme - révélateur de la Beauté

Disponibilité

 Les choses arrivent à qui est disponible pour les vivre, les entendre ou les voir. C’est formidable d’être à la disposition de son destin.

Sinon, que se passe-t-il ? Rien.

Se laisser guider par son instinct, suivre des chemins inconnus où tout devient important. Avoir le sentiment d’être de nouveau un enfant. Être curieux du monde et apprendre sans cesse. Tout a du sens quand on est comme cela, en voyage dans sa vie. 

Jacques Higelin

Une journée de visites

Adrien et sa Maman Anne-Marie, tous deux pour une première fois en Irlande .

Adrien travaille avec Stéphane 

 Joanne Hale, américaine, une amie de Richard qui m'a reçue au Malawi. Elle est venue avec 5 membres de sa famille rencontrer les cousins Irlandais à Roscommon.  Samedi ils seront 42! 

L'Amour vécu tel un chemin

  L'Autre peut être un fabuleux chemin qui vous mène indéfectiblement au plus profond de vous-même et c'est là que vous vous rejoindrez pour toute éternité . 

Au hasard de mes lectures, j'ai trouvé à 35 ans, ces 6 "Paramitas" que je me suis empressée de mettre quotidiennement en  pratique . Ils m'ont, à cet âge là,  énormément aidée à me souvenir des vertus nécessaires à atteindre  par ceux qui sont déterminés à Aimer au-delà des passions. 

Hélas je n'en peux citer l'auteur .

Mon Amour,  parce que je t'aime,  je voudrais te donner tout ce que j'ai : mon argent, ma maison, mes vêtements, ma peau, mon corps, mon âme même si je dois aller nue . Parce que je t'aime je veux te donner tout ce que j'ai , sans condition . Quand je fais cela j'apprends la voie de l'OFFRANDE . 

Mon Amour, parce que je t'aime , je veux me faire belle pour toi , je veux me faire propre pour toi, afin que tu sois à l'aise et détendue quand tu me vois . Bien que je n'aie pas envie de prendre un bain deux fois par jour, ou d eme maquiller , je le fais pour toi . Quand je fais cela j'apprends la voie des PRECEPTES. 

Mon Amour, parce que je t'aime tant , ce n'est pas facile , parfois l'amour est totalement pénible , tu me manques tellement et je ne peux te voir . je veux te serrer dans mes bras et je ne peux pas . Je dois me retenir si fort . A ce moment là j'atteins la voie de l'ENDURANCE. 

ce.Mon Amour, celui qui aime a tellement de chances . Parce que je t'aime tellement , je ne peux penser à rien d'autre qu'à toi. Mon esprit est plein de toi: quand je mange, quand je dors, quand je marche, je pense toujours à toi. Ton visage est toujours devant moi. C'est ainsi que j'atteins la voie de l'ATTENTION.

Mon Amour , parce que je t'aime tellement , je ne veux rien négliger . Je veux tellement être avec toi ; je travaille dur pour te rendre heureux, pour que tu sois content  En agissant ainsi j'atteins la voie de la PRATIQUE. 

Mon Amour, parce que je t'aime tant , quand je suis avec toi, je m'oublie , la tristesse disparaît, la colère disparaît, le plaisir disparaît . A ce moment là quand je suis dans tes bras , tout disparaît . Ni deux, ni Un . A ce moment là j'atteins la voie de la SAGESSE

Tant d'années plus tard , ça m'amuse . Mais il était impératif alors, que je passe d'un quai à l'autre , que je sorte du mon idéal  INOUI  pour monter dans un  TGV afin que cet amour passionnel acquiert Très Grande Valeur . 

Les six perfections bouddhistes  (ou six Paramitas)  sont· 1. La générosité · 2. L'éthique · 3. La patience · 4. L'effort enthousiaste · 5. La concentration · 6. La sagesse.

Le savoir souffrir

De la souffrance naît la sensibilité, dont nait l’intelligence.Tout le monde parle de savoir-vivre, mais personne du savoir-souffrir.

Ce qui importe ce n’est pas le poids qui t'accable, c’est comment tu te courbes pour ne pas casser, Ce n’est pas le bruit qui t’abasourdit,

c’est comment tu écoutes les murmures du monde, Ce n’est pas la force du vent qui t'emporte, c’est comment tu hisses tes voiles,

Ce n’est pas la hauteur des vagues qui te frappent, c’est comment tu t’y laves,

Ce n’est pas l’absence de lumière qui t'entoure, c’est comment tu chantes dans le noir,

Ce n’est pas ce que tu perds,

c’est comment tu ouvres ton coeur pour la suite, Ce n’est pas la quantité de larmes que tu verses, c’est comment tu souris en pleurant,

Ce qui importe, cher ami,

ce n’est pas l’intensité du feu que tu traverses, c’est comment tu danses dans les flammes.

Stephan Schillinger

Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique

Le Grand Amour

 Le Grand Amour n’a rien à voir avec toi ou moi, ou lui, ou elle. Mais avec « Cela ». Cette energie qui circule dans tout le vivant, à la base même de la cohésion des atomes

Quand nous laissons notre ego s’interposer au milieu de la libre circulation de cette energie entre deux êtres, la circulation cesse, et ce que nous croyons être Amour devient possessivité, attachement, insécurité, attentes.

À l’inverse, une approche plus consciente et sacrée invite à laisser circuler cette énergie mystique à travers l’éternelle blessure affective que chacun porte en soi. Entre la tienne et la mienne.

Cette blessure originelle que nous portons tous est la porte vers cet Amour. La contacter implique l’accès à une vulnérabilité réciproque, permise par la confiance.

Le Grand Amour, est celui qui te confisque à toi-même et de ce fait te libère en même temps de toi-même..

Il te confisque du désir d'être libre, et te libère du sentiment d'être confisqué.

Stephan Schillinger

Ce que je voudrais

 Je voudrais que tu sois là 

que tu frappes à la porte

Et tu me dirais c'est moi 

Devine ce que je t'apporte 

Et tu m'apporterais TOI 

Boris Vian  (10 mars 1920 -23 juin 1959)

Pas assez

 Lorsqu'on a aimé une femme de tous ses yeux, de tous ses matins, de toutes les forêts, champs, sources et oiseaux, on sait qu'on ne l'a pas encore aimée assez et que le monde n'est qu'un commencement de tout ce qui vous reste à faire.

Clair de femme de Romain Gary.

Je peux vous assurer que c'est la même chose pour un homme

Lorsqu'on a aimé un homme de tous ses yeux , de toute sa voix, de tous ses bras, de tous ses matins , de toutes les plages au sable fin, de tout son désespoir, de toute ses flammes, de toutes ses illusions, de tous ses rêves et de toute sa passion on sait qu'on ne l'a pas aimé assez, que ce n'est même pas commencé ; chaque matin est le premier et le dernier matin ; on a que l'envie de recommencer, de commencer, de faire mille fois mieux, de pardonner plus vite, de rire à gorge déployée, de le regarder les yeux enfin ouverts sur sa merveilleuse unique humanité. De se hâter plus lentement vers le but de ne faire qu'un. Et on se met à espérer que la VIE voudra bien nous redonner, ne serait-ce qu'une fois, la joie des retrouvailles, pour apprendre un peu plus, un peu mieux à " aimer apprendre à Aimer".

Ou au moins à apprendre à lire, si, comme l'a écrit Christian Bobin dans La lumière du monde :

Aimer quelqu'un c'est le lire. C'est savoir lire toutes les phrases qui sont dans le cœur de l'autre, et en lisant le délivrer. C'est déplier son cœur comme un parchemin et le lire à haute voix, comme si chacun était à lui-même un livre écrit dans une langue étrangère.

24 ans aujourd'hui, s'en allait vers d'autres cieux, mon amoureux.

L'inflation : un délire irlandais

4,50 en 2021 7, 50 en 2022, 10,99 en 2023 le paquet  qui me chauffe une  petite journée !!!!

 

MIN de Rungis : beurre, fromage (mensuel) marché du 31/05/23 (cours Grossistes) 

60 euros le kilo en Irlande au supermarché de Clifden !!!!

9.20 euros le kilo en France 

Hélas

           ........pas besoin de légende , hélas   

Saidj Mouhand

Cette photo a été prise sur les côtes italiennes.
Ces chaussures appartiennent à des jeunes qui voulaient atteindre les côtes, mais la mer les a dévorés .
Chacune de ces chaussures représente une histoire, un rêve, un espoir, un voeux, une ambition...etc. Paix à leurs âmes !

Ciel d'orage

      Une photo de Martine Fève , hier soir.

Derryclare

Une photo de Ronan Davis  - The Connemara Man Photography  -  near Recess by the side of the road.

Feu de la St Jean ,

 Pas de "bone fire " @ L'Ann Moor this year 

Although it is less celebrated these days, the midsummer festival used to be an important occasion in Ireland, going back many centuries, far into ancient times. Even as lately as fifty years ago half the streets in Ireland would have their own bonfire, or more properly bone fire, since the Irish word for “bonfire” is tine cnaimh. The bones of animals were cast into the fires, which were usually of hot-burning gorse, as offerings to the spirits.

The old people used to call it Oíche Fhéil Eoin or Oíche Tine Seán, the Night of John's Fire. Before Christianity came to Ireland, the first midsummer fire was lit on Howth Hill, and the moment the flame appeared in the darkness a great shout went up from the watchers on all the surrounding hilltops, where other fires were quickly kindled until soon the whole country was in a blaze, flames of fire springing like magic from hill to hill.

These celebrations took place on the 23rd of June, midsummer's eve, halfway through the year and two days after the summer solstice. It was called St John's eve festival. Great fires were lit by the oldest person present exactly at sundown, while the youngest there would throw in a bone,  as a gift to the spirits , and they were tended until midnight, or in some places until dawn.

People gathered around the fires to dance and sing, roasting potatoes, praying and reciting poetry, while young men proved their bravery by leaping through the flames and walking through the fields carrying lit torches before casting them into the fire to protect the crops from disease, misfortune and the sidhe.

Celui ci brûlait à Errislanan hier soir, avec ou sans os ?

Une photo de Michael Taylor . 

On avait le même rituel quand j'étais enfant en Bretagne. Il y a avait plusieurs feux, ce soir là, dans la rue principale de Pluméliau (Morbihan) et je me souviens parfaitement de mon père qui devait avoir 30 ans, 32 ans  sautant élégamment  par dessus les flammes. Cela me rendait fière.  Et des parties  de palets qui se poursuivaient tard  entre les différents brasiers. 

Bonne fête à tous les Jean.

My corner of the world

 Ue photo d'Anne Stayaert 

10 ans déjà

 A un mois près.

Sonja, from Austria, rencontrée au Pérou en 2012 lors de sa première visite à Ballyconneely en juillet 2013

John King in Bally

 CNNs John King popped in to Keoghs for a spot of lunch today while visiting his relatives from Ballyconneely. Here he is with our very own Brendan and Bernie

John King (né le 30 août 1963 à Boston ) est un présentateur de télévision américain. d'origine irlandaise . Ce journaliste et est le présentateur du programme de discussion politique Inside Politics .

En 1997, King rejoint CNN où il est correspondant principal de la Maison Blanche de 1999 à 2005. En 2005, il est nommé correspondant national en chef de CNN, poste qu'il occupe toujours. à Washington DC et qu'il va céder à son ex épouse Dana Bash  aussi présentatrice à CNN, avec laquelle il eut en 2011, un fils, Jonah .Il a  eu aussi deux enfants avec sa première femme, Jean Makie.

Il pleut

 Voilà qu'après 6 semaines de soleil  et de ciel bleu, la pluie  nous est venue . Et voilà qu'elle lave mes carreaux, donne à boire au jardin , repeint le bleu en gris, reprend ses droits sur les fuchsias qui se redressent et ne cachent pas leur joie, s'amuse à remplir d'eau les cendriers  au cas où la bergeronnette grise ou le pinson des arbres aient la velléité de prendre un bain de pattes en ce début d'été. 

Elle est petite, discrète, tendre et tranquille. Peut-être ne fait-elle que passer. Elle ne brise pas le silence car sur le chaume on ne l'entend pas tomber.  Elle ne semble ni gémir, ni parler . Elle berce plutôt, susurre, pianote, installe un semblant de souvenir d'automne qui fait que de ce pas, je m'en vais allumer le feu. Et m'installer avec  un livre, dans la douceur de ces deux là mêlés. Ou bien regarder la télé ! 

La profondeur

 La vie n'a pas à voir avec la longueur mais avec la profondeur 

et c'est pourquoi c'était si sympa de déjeuner aujourd'hui avec Maggie avec qui nous parlons profondément 

Elle sait les mirages, reconnait l'illusion et réalise la nature de ce rire cosmique dont nous parlions hier.

Par un curieux hasard

La vie est une expérience de créativité pure, dans laquelle nous recevons en retour ce que nous y envoyons. Quand nous y projetons de la peur, nous recevons en retour toute une palette d’expériences associées à cette vibration, cette énergie. Il en est de même pour l’amour.

A la fin, quand nous passons de l’autre côté du voile, les épreuves parfois terribles de cette vie nous apparaîtront comme les sursauts d’un Rire Cosmique, dont les mouvements nous auront douloureusement secoués.

Certains d’entre-nous, sourds au grand rire de la vie, et aveugles à son caractère illusoire, prendront le jeu très au sérieux en en multipliant les règles, les masques et les lois.

Les autres, plus rares, se découvrent la capacité de réaliser la nature de ce rire avant la fin, et se mettent à jouir de la même blague, et à danser cette éphémère expérience dont la musique ne cesse jamais.

Stephan Schillinger

Extrait des livres« Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique