dimanche 12 mai 2024

S'éveiller


      S'éveiller n'est pas changer qui nous sommes mais nous débarrasser de qui nous ne sommes  pas
.

C'est difficile de réaliser que nous ne sommes pas l'Ego , que nous devrons finir par nous en dessaisir de ce petit moi dont nous faisons grand cas pour que le Grand Moi dise Qui nous sommes quand les masques tombent. Quand les shémas familiaux sont reconnus. Quand nous en avons assez de faire semblant. Qu'enfin l'authenticité, la simplicité, l'humanité de chacun règnent. 

Couper un arbre


Abattre un arbre est une question qui doit être mûrement réfléchie,
Que ce soit pour construire une autoroute ou parce que les feuilles salissent la terrasse et bouchent la gouttière.
Pourquoi ?
Parce qu’un arbre :
🌳 absorbe le CO2 "problématique" pour produire de l’O2 "vital" et stocker du carbone C
🌿 remplit les nappes phréatiques avec ses racines verticales servant de guide
🌳 reflète et absorbe une partie des rayonnements solaires
🌿 maintient une fraicheur locale et contribue à la création des nuages avec le phénomène d'évapotranspiration : la pluie tombe du sol !
🌳 produit des feuilles : de la nourriture pour les sols et pour lui même, ses racines horizontales servant à récupérer les nutriments
🌿 donne du sucre au mycélium en échange de nutriments
🌳 absorbe les polluants gazeux par les stomates
🌿 fournit habitat et nourriture aux oiseaux, insectes et rongeurs
🌳 peut servir de barrière sonore et visuelle
🌿 fait de l’ombre même à celui qui l'abat...
Si je résume, en plus de capter du CO2 un arbre produit :
❄ du froid !
💧 de l’eau !
🌬 de l’oxygène !
C'est OUF non ?!
La seule et unique technologie qui peut nous sauver existe déjà...
Plantez des arbres, plantez des haies, laissez vos terrains s’ensauvager !!!

Via Vincent Dujardin sur LinkedIn.

samedi 11 mai 2024

Accepter les accusations : une réflexion

 Il y a 2 ans aujourd'hui quelqu'un que j'aime profondément et que pour rien au monde je n'eus jamais voulu  blesser  m'a dit en face tout ce qu'il pensait de moi : Je venais de "dépasser les limites". Je n'étais qu'une "vieille femme aigrie"" amère" "jalouse", "frustrée". Bref, insupportable et donc dorénavant infréquentable !    Est-ce que ca vous est déjà arrivé? 

Il eut été hors de question que j'y réponde de la même manière,  vu que comme beaucoup d'entre nous  je suis avant tout en quête d'harmonie, de non violence. "Shanti Shanti ": je n'aspire qu'à la paix. Il fallut donc que je cherche une astuce qui me permette de réagir positivement à ces invectives amicales ! Comment accepter les accusations ? En fait c'est assez simple comme technique :

1° Ecouter attentivement et examiner  ce que la personne voulait dire. Parce que si il y a quelque chose de vrai dans ses accusations nous pouvons recevoir la réprimande avec reconnaissance n'est-ce-pas?  Et redresser la barre pour nous débarrasser d'un défaut dont nous n'étions peut-être même pas conscient.

2° Se souvenir de toutes les louanges reçues et se rappeler que blâme et louange ne sont que les deux côtés d'une paire d'opposés et que l'un n'a pas plus de valeur que l'autre. Si nous acceptons l'agréable nous devons pouvoir accepter aussi le désagréable. L'un dans l'autre les louanges, dans mon cas en tous cas ,  annulent largement les blâmes. 

3° Une accusation venue d'autrui n'en dit-elle pas  beaucoup plus long sur l'agresseur que sur nous-même. Après tout ce sont "ses" limites que j'avais apparemment dépassées,  pas les miennes qui sont autrement extensibles. Est-ce que ce qu'il a dit est vrai ?  Suis-je dans mon environnement  perçue comme  une harceleuse  amère et frustrée ?  Ou est-ce vrai seulement pour lui ?  Ne se déchargeait-il pas d'un excès de sentiments négatifs accumulés  dont j'ai fait les frais ? S'il est blessé, déçu, triste ou jaloux a-t-il besoin pour aller mieux, de trouver une justification qui le libère ?  Comment ne pas se réjouir alors de lui offrir un peu plus de confort ? 

"A qui appartient le cadeau si celui à qui il est offert ne l'accepte pas ?"  demandait Bouddha . Il retourne à l'envoyeur n'est-ce-pas ? 


Je demeure reconnaissante de ce regrettable incident car il n'a rien ôté à l'amour inconditionnel c'est à dire non sentimental donc non variant que je porte à cette personne depuis 60 ans. Il m'avait déjà "jetée pour 18 ans" il y a  45 ans!  Cette fois pas de chagrin. J'ai pu mesurer le chemin parcouru et me réjouir de la stabilité émotionnelle que je suis parvenue à établir ces dernières années. De plus,  je me suis donné l'occasion de m'exercer à plus d'équanimité  et j'ai pu  vérifier que je pouvais désormais  accepter tout ce qui vient comme envoyé d'en haut pour m'aider à progresser. Donc c'est tout bénef.  Merci l'Ami. 

Guerriers de l'Arc en Ciel


 Quand la Terre est ravagée  que les animaux meurent, alors une nouvelle tribu arrivera sur la terre, de toutes couleurs,  classes et credos et de par leurs actions  et leurs éthique, ils rendront la terre verte à nouveau . Ils seront connus en tant que  guerriers de l'arc en ciel .

Vieille prophétie des Indiens d'Amérique 

L'aurore boréale dans le Connemara






 

Deux taureaux en New Zealand


 Je suis du 8 et Doris (Eckmann) est du 11.  Cette photo a été prise il y a 17 ans ! Quand en bonne Granny ( on the road) je faisais la tambouille pour tous dans les hostels . Que de bons souvenirs, je garde et que de contacts précieux  aussi . 
Bon anniversaire Doris, à travers le temps et l'espace .  Nous avions le même bagage ! Tu as été une soeur de route ! Et c'est imprimé dans mon coeur.

vendredi 10 mai 2024

Il en faut peu finalement

How much ‘ego’ do you need? Just enough so that you don’t step in front of a BUS .



De combien d'ego avez-vous besoin ? Juste assez pour ne pas passer sous un bus.


Shunryu Suzuki (1904-1971)
Moine Zen japonais


My wonderful neighbours


Je les regarde de mes fenêtres s'activer mes landlords bien-aimés 


Mes gentlemen farmers, mes gardiens, mes voisins les plus proches et parfois, j'ai la joie de les nourrir le soir,  quand ils sont fourbus ou que la vitrification des planchers d'à côté n'est pas sèche .



Et c'est toujours un moment de complicité, d'harmonie, d'amitié .
Je leur dois d'être restée chez moi après avoir vendu : un gros cadeau que je n'oublierai pas.

jeudi 9 mai 2024

Le but de l'année : un brin de croissance

 Ca y est, je suis en route vers mes 82 printemps ! Mon but  cette année, ne sera pas tellement de gagner ou pas le paradis promis à la fin de nos vies mais de faire de ma vie un paradis tant que j'y suis ! J'ai déjà un tas d'Anges qui le peuple. 

Au fur et à mesure que je m'éveille enfin, tout devient simple et clair. C'est dire que j'en sais de moins en moins. Et que la Vie se déroule de plus en plus en moi, sans moi, tant ma confiance en Elle est grande... La distance qui s'installe entre moi et mes façons de penser est ce qui, du moins me semble-t-il,  me permet la liberté d'une perception nouvelle, plus adaptée. 




Avant de quitter ce plan je voudrais expérimenter encore plus de liberté. Puisse mon corps physique me permettre de voyager. Je le prie de Servir la Vie. Et je tâche de le servir moi-même au mieux,  c'est-à-dire sans trop de caprices. Je bois encore du vin mais moins. J'ai toujours été émerveillée par le fait que nos bras sont la prolongation directe de notre coeur  Tant que j'ai ce corps je peux continuer à physiquement donner, que ce soit des sous, des soins, des chocolats, des mots écrits ou des caresses. Ce que je préfère c'est quand mon coeur bat pour les autres. 

Je voudrais expérimenter mieux la loi d'économie, vivre de plus en plus simplement en trouvant toujours l'exact juste rapport entre le meilleur résultat obtenu pour  la dépense d'énergie la moins grande fournie . Mon corps mental me le permet déjà. Pour lui  aussi maintenant la belle vie c'est la vie simple . Comme l'a dit Henry Thoreau : "L'homme est riche en proportion des choses dont il peut se passer."

Et je voudrais me débarrasser pour de bon de la peur de manquer qui m'a été inculquée dans l'enfance. J'y travaille depuis longtemps à travers dîme et autres dons. Je vois que mon corps émotionnel se re-programme et apprécie  cette capacité d'avoir assez la foi, pour partager. 

Si tous mes corps sont d'accord , s'ils sont alignés  comme je le crois, on devrait y arriver ! 



Un brin de  croissance 
Chaque brin d'herbe possède son ange qui se penche et murmure "Grandis  grandis".

Le talmud.

mercredi 8 mai 2024

Un bel anne-iversaire de plus




Fergus , Alice, Carolanne, Hannah et son chien et moi nous avons partagé des homards qui vu leur taile n'étaient plus jeunes non plus ! Mais qui n'en étaient pas moins délicieux pour autant .


Avec salade, poireaux , champignon et comme dessert une roulade au chocolat maison , roulée par Miss Walsh ( Alice ) elle-m'aime 


 Et d'Inde j'ai reçu par vidéo interposée un gateau-coeur avec Happy Birthday to You  dont Somesh et Julie ont mangé une bouchée à ma santé ce qui me garantit, parait-il, une très bonne année . 

Merci les amis d'ailleurs et d'ici pour les nombreux messages, voeux, appels reçus. I feel blessed 💚

La vérité du philosophe

 

“The philosopher is in love with truth; not with the changing world of sensation, but with the unchanging reality which is the object of knowledge.”

Plato (427-348 BC)
Greek Philosopher



Le philosophe est amoureux de la vérité ; non pas de celle du monde changeant de la sensation, mais de celle de la réalité immuable qui est l'objet de la connaissance.

On s'est cru aux JO

 


On s’est vraiment crus aux JO” : Emmanuelle Bercot nous raconte les folles coulisses du tournage du film L’Esprit Coubertin



Elle est capable de tout ! Devant ou derrière la caméra, Emmanuelle Bercot fait toujours preuve d'un sacré talent, et d'une bonne dose de personnalité. En tant que réalisatrice, elle a dirigé Catherine Deneuve dans Elle s'en va (2013), avant de retrouver cette dernière pour le drame De son vivant (2020), dont le tournage a été marqué par l'AVC de la grande dame du cinéma français. Entre temps, elle signait avec La Fille de Brest (2015) un passionnant film réquisitoire sur l'un des plus importants scandale sanitaire français. Emmanuelle Bercot est aussi comédienne, et a notamment marqué les esprit dans Polisse de Maïwenn (2011), notamment inspiré d'un triste fait divers, ou dans Mon roi (2015), qui suit une histoire d'amour toxique. Changement total de registre avec L'Esprit Coubertin, comédie en salles ce mercredi 8 mai 2024, dans laquelle l'actrice incarne la coach d'un champion de tir sportif, dernier espoir de médaille française aux Jeux Olympiques de Paris. Un scénario que l'on n'espère pas prémonitoire, pour lequel elle s'est parée d'une coupe de cheveux ad hoc ! 
Télé-Loisirs l'a rencontrée.






Télé Loisirs : C’est amusant de vous découvrir en coach sportive !

Emmanuelle Bercot : C’est vrai que ça m’a amusée de me retrouver dans un film avec un ton singulier bien différent de ce que je fais d’habitude. J’aime toujours jouer des personnages qui sont très éloignés de moi, et c'était le cas dans ce film. Moi, coach de haut niveau ? Pour les gens qui me connaissent, c’est une surprise !

Vous êtes du genre sportive ?

E.B. : J’ai toujours fait du sport, le sport fait partie de ma vie, mais de là à me projeter dans la compétition de haut niveau, non. Aujourd’hui je fais du sport pour m’entretenir, comme tout le monde, mais plus jeune j’ai beaucoup pratiqué le tennis, la boxe française, et le ski. Je me sentais d’ailleurs très bien dans le costume de l’équipe de France, on a passé tout le tournage en jogging, ce qui était assez savoureux !

Comment vous êtes-vous préparée pour votre rôle d’entraineuse de tir de précision ?

E.B. : Je n’ai pas rencontré d’athlète de cette discipline, mais j’ai passé beaucoup de temps à regarder des vidéos de championnat et de J.O. de ce sport que je ne connaissais absolument pas. J’avais envie de voir comment se déroulent les compétitions, il y a beaucoup de vidéos sur Youtube. J’ai découvert un sport qui n’est pas du tout spectaculaire, il n’y a pas de show dans le stade, on est dans l’intime des tireurs et dans une précision totale. Dans le stade il faut un silence total, on ne peut pas crier ou encourager, c’est très particulier. Je ne devrais sans doute pas le dire, mais ce n’est pas le sport que j’irais voir aux J.O. de Paris !

Emmanuelle Bercot : "D’un coup j’ai eu cette idée de nattes africaines"

Comment avez-vous travaillé votre look ?

E.B. : Lors des essais coiffure et maquillage avant le tournage, Jérémie (Sein, le réalisateur, ndlr) avait d’abord imaginé mon personnage avec des cheveux décolorés et une coupe années 80. Ça m’ennuyait parce que je faisais du théâtre en même que les prises de vue, et je devais avoir les cheveux longs. D’un coup j’ai eu cette idée de nattes africaines, ça avait du sens même par rapport au sport. Si elle a fait du tir de précision, elle ne peut pas avoir un seul cheveux qui lui tombe sur le visage. Je trouvais que cette coupe un peu ridicule servait bien le côté ringard du personnage. Ça me prenait une demi-heure à faire tous les matins.

Benjamin Voisin est, lui, encore plus méconnaissable...

E.B. : C’est la troisième fois que je tournais avec lui. Il y a été à fond, il n’a pas du tout eu peur de s’enlaidir, de se ridiculiser. Et son jeu était lui aussi complètement décalé. Je me suis dit "Wouah, il va vraiment loin".

Comment vous êtes-vous sentie dans le faux village olympique reconstitué dans le film ?

E.B. : On était complètement dedans, plongés dans l’univers olympique, on a tourné quasiment exclusivement dans ce grand décor-là. Il y avait des figurants en jogging qui passaient partout, on s’est vraiment crus aux Jeux Olympiques ! Comme le film met plus l’accent sur le côté fête et déconnade que sur la discipline, et ça donnait envie. Même si aux vrais J.O., les sportifs doivent être dans la concentration extrême avant leurs compétitions.

Emmanuelle Bercot : " Je suis débutante dans la comédie"

Vous êtes assez rares dans les comédies, pourquoi ?

E.B. : C’est quelque chose dont j’ai toujours eu envie, et ça fait un ou deux ans que j’apparais de plus en plus dans des comédies, comme Sentinelle avec Jonathan Cohen (sur Prime Video, ndlr). Ce n’était pas du tout le cas avant, mes proches me disaient tout le temps que je devais faire de la comédie mais on ne m’en proposait jamais. Les digues sont un peu en train de lâcher, j’en commence une nouvelle dans un mois. J’adore, mais c’est très dur parce que je suis débutante dans la comédie.

Les Jeux Olympiques de Paris, les vrais, vous irez ?

E.B. : Non, parce c’est trop compliqué et que les places sont à des prix hallucinants. En revanche, je vais regarder les sports qui m’intéressent à la télévision, comme l’athlétisme, la boxe, le basket la GRS aussi, j’adore ça. Je serai dans Paris, donc je vais être plongée dans l’ambiance même si je ne vais pas sur place. Je ne me suis pas dit que je devais absolument partir de Paris, je pense que ce sera assez marrant de voir cette atmosphère particulière dans la ville.

En janvier dernier, vous avez révélé souffrir d’insomnies. Est-ce toujours le cas ?

E.B. : Ah, cette nouvelle a fait le tour d’Internet ! Pour le moment je n’ai pas encore trouver la solution, je ne manquerai pas de vous prévenir quand je retrouverai le sommeil. On est très nombreux à souffrir de ce problème. C’est difficile parce que derrière, les journées, il faut quand même les faire. C’est extrêmement pesant, et épuisant. Peut-être que ma carrière serait meilleure si je dormais mieux (rire).



Un an de plus

 

"Chacun d'entre nous a tous les ans une journée particulière qui n'appartient qu'à lui :
Celle de son anniversaire."
Et voilà que c'est le mien 




Aujjourd'hui j'ai 81 ans et des fausses dents ! 

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Un jour au cours du temps, des jours, des semaines et des mois...
Un jour pour respirer, remercier, faire la fête
Un jour pour moi...
 
Des signes d'amitié et des souhaits me parviennent,j
venus de près ou de très loin...
Des gens pensent à moi -
et pas seulement en ce jour !
 
Ce jour qui est le mien vient me rappeler
que travail et devoir ne sont pas tout...
Qu'il est bon de faire plaisir aux autres
et de s'occuper de soi.
 
Aussi longtemps que je vivrai :
Avant tout rester vivant !
 
Un jour pour moi, un jour comme un cadeau,
comme une invitation à accueillir chaque instant
Comme un merveilleux présent
 
Je ne suis qu'un être humain
Une partie infime de cette création,
Né pour la quitter,
et cependant unique, pensé par le Créateur
voulu, accompagné, jamais oublié...
 
Pleine de miracles, pleine de couleurs,
pleine de rencontres  La VIE !
Et je suis là, vivant, au milieu d'elle.
 
Les années ont passé, nombreuses, depuis le jour où je suis né
Cela est si loin...
Et malgré tout - recommencer, toujours.
 
Qu'arrivera t'il l'an prochain ?
Je n'en sais rien...
Mais je sais que je poursuivrai ma route.

Rainer Haak 

mardi 7 mai 2024

Cela aussi passera, Emmanuelle .

 


Le roi a convoqué tous ses sages et conseillers pour une réunion. Il s'adressa à eux et leur dit : « Je veux que vous fassiez des recherches et que vous consultiez les hommes les plus sages et les plus érudits du pays. N'épargnez aucune dépense. Je veux que vous trouviez le seul principe qui me permettra de traverser toutes les situations de la vie au sommet du monde ou dans les fosses, trouvez ce principe. Je ne veux pas apprendre des philosophies longues et compliquées, je veux un principe simple, trouvez-le et écrivez-le-moi simplement.

Les hommes sont partis et ont consulté pendant des mois. Ils revinrent finalement et remirent un parchemin au roi. Le roi déroula le parchemin sur lequel étaient écrits quatre mots : « Ceci aussi passera ». C'était ça.

Les sages expliquèrent : « Lorsque vous êtes au sommet du monde, ce n'est qu'un instant éphémère. Les choses changent ; rappelez-vous toujours : « Cela aussi passera ». Lorsque vous êtes dans les stands, toutes les nuits sont suivies par le jour. Dans vos moments les plus bas, rappelez-vous également : « Cela aussi passera ». Toutes les circonstances extérieures et les choses matérielles changent. Quelle que soit votre situation, rappelez-vous : « Cela aussi passera ».


Comme est passée l'année de mes 80 ans ! Dès demain, j'en aurai 81 .