moi comme une tempête, une furie, une enragée,
lui surpris, seulement cruel,
irrégulier,
frottant savamment mes oreilles
de ses malédictions bénignes,
de ses imprécations de vagues,
j’entendais par moment les dunes gémir....
Le vent m’aime, le vent m’aime, pensais-je alors,
tandis qu’il tordait mes cheveux comme des serpents,
je laissais mes cheveux aller.....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire