La technologie nous rend au courant de tout. Il y a une surdose de l'aberrant et du barbare. Cette distorsion phénoménale nous amène à l'idée du "mauvais monde". L'Homme serait mauvais. Le monde, un puits de violence.
En réalité, elle n'a cessé de diminuer en cinq siècles. La plupart du temps, la vaste majorité des sept milliards d'êtres humains se comportent de façon décente les uns envers les autres. On oublie la banalité du bien »
Extrait d'un interview accordé à L'Express
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