Il était comme ça mon Nicholas à moi quand je le gardais à New-York . Un clown triste parfois. Ce regard m'a ouvert le coeur en le fracassant de bonheur. 58 ans plus tard je trouve que je lui dois encore cet apprentissage d'un amour sans condition, cet éveil à la compassion, cette perception d'une âme d'exception.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire