On attend juste notre tour

                              Envoyé  d' Autriche par Sonja pour la mort de Kay , la maman d'Alice ..

                              On attend tous notre tour . J'espère que je suis dans les 10 premiers rangs ! 

Alice and Fergus are back

                              So nice to see the light next door ! Les anges gardiens sont de retour ! 
 

La pivoine d'Alicia

 Gouache d'Alicia Magendie , . Quel travail délicat ! On la respire presque cette merveilleuse pivoine .

Et  sur FB elle dit qu'elle la vend 140 encadrée ... Voilà une Alicia qui sous estime son incroyable talent. 

Passez comande ! 

Une artiste splendide.

Mon septuagénaire de frère

  Assis sur ses 76 ans,  avec probablement toutes ses dents !  Voyage à Amsterdam , expo Vermeer , tulipes, douce et belle compagnie . De quoi se souvenir de cet anniversaire ...

Les Hommes volants : impressionnants

Pierre aurait sur ce plan , 50 ans

 je partage une photo et un texte choisi par Martine, sa Maman 

Pour Pierre, né le 30 Mars 1973

. Les mots d'un autre, Nicolas Gouzy, que je remercie, pour te dire, tu sais fils...

« Tu sais fils ? Je n’y suis pour rien, ni pour le beau temps ni pour le grand vent. Mais j’aimerais tant. Tu sais fils ? Ce n’est pas de mon fait, ni le cri des goélands ni les fleurs des champs. Mais j’aimerais tant. Et encore, tu sais quoi fils ? Je n’y suis que pour peu de choses, par exemple aux bourgeons de noisetiers, aux pousses des bambous, aux pluies d’amandiers roses ou de mirabelliers blancs, bientôt aux lilas qui disputeront leur mauve avec le bleu des iris et marieront leurs parfums à celui des chèvrefeuilles. J’accepte bien volontiers que tout ce qui vit m’échappe, tout ce qui reverdit, tout ce qui respire, tous ces cœurs qui battent soient hors de mon contrôle. Je suis même heureux de voir tant d’oiseaux qui se moquent de moi parce que je n’ai pas d’ailes, de chats qui me plaignent car je n’ai pas de griffes et même de sangliers parce ce que je ne sais rien du goût de ce qui craque et cric et croque sous l’herbe du jardin. Je ne suis pas responsable de l’écureuil qui dort dans mon toit, des sauges et des lauriers et du fouet si haut des cyprès et des peupliers. Tu sais fils ? Je dépends de tout cela. Pas besoin d’être un indien des plaines, une tête à béret, d’avoir les pieds bottés et les mains calleuses, pas besoin d’un fusil, d’un chien ou d’une meute, pas besoin d’un filet, d’un bateau, d’un proverbe ou d’un missel, juste d’un rayon de soleil , d'un souvenir de toi ou bien d'une vague, encore une fois. »

Les photos ont été prises par Martine à Achill Island dans le comté Mayo en Irlande

L' Au milieu de Camus

L'Unijambiste

 Quel que soit le handicap  on peut vivre et m^me grandir . Mais quelle merveille ! 

Roundstone

 Le petit village de pêcheurs près duquel j'habite 

Quand le pub est trop plein ou qu'il fait assez chaud le muret sert de comptoir .

L'ère des foules

 L’ère des foules verra le règne de ceux qui savent les mener. Ces meneurs seront des hommes d’action, et pas des hommes de réflexion. Ce seront des névrosés, des demi-fous, que leur folie rendra prompts à l’action, donc capables d’entraîner la masse. Le meneur entraîne la foule parce qu’il lui ressemble. Comme elle, il est instinctif, fanatique, unitaire dans sa pensée jusqu’à perdre de vue les exigences de sa propre conservation. C’est pourquoi le meneur ne démontre pas : il affirme. Il n’approfondit pas, il répète. Il ne persuade pas, il contamine. Sa capacité d’influence ne résulte pas de son discours lui-même, mais du prestige dont il se pare.

Gustave Le Bon - La psychologie des foules,1895

Règler les problèmes

 

Har(p)monie

 

Ce soir à Dublin

L'art de la perle

 Dans une boutique vintage en Angleterre , à RYE. East Sussex 

Une petite visite à l'Elysée

Dans les colonnes d'Allociné, le réalisateur du film a révélé que pour bien préparer le personnage de Gabrielle, ex-secrétaire d'État, lui et Emmanuelle Bercot se seraient rendu au palais de l'Élysée, pour y rencontrer trois femmes célèbres du monde politique français : Aurelie Phillipetti, Marlène Schiappa et Anne de Bayser,  l’ancienne secrétaire générale de l’Élysée.

Dans son drame politique, Sylvain Desclous a souhaité dresser le portrait d'une héroïne réaliste : "Le film peut être aussi vu comme la naissance d’une femme politique, et pourquoi pas d’une prochaine présidente", affirme le réalisateur, avant d'ajouter : "J’ai eu comme objectif, dans toute la démarche de fabrication du film, de toucher, de bousculer, tout en proposant un récit qui rejoigne des thématiques qui me semblent centrales : quelle place occupe-t-on dans la société ? Comment en changer ? Quels espoirs peut-on placer dans ce déplacement ? Comment composer avec son milieu social d’origine ? Comment avancer sans se renier ?". Un film plus qu'actuel.. 

Excellents acteurs.

Bon anniversaire Coco

A 10 ans 

A 75 avec sa femme et Paul, leur petit-fils tant aimé 

                                                              A 74 avec moi à Ballyconneely 

Un frère selon mon coeur - Celui que j'aurais choisi au grand super-marché des Frères . Il a aujourd'hui 76 ans et semble en avoir 65 .  Contrairement à la barbe qui lui va si bien , ses  cheveux comme ceux de notre mère ne blanchissent pas . Bonne année  Michel.

Anniversaires de départs

 Dans la nuit du 26 au 27 mars 1991, mon beau père, Pierre Bercot, décédait . Il avait 88 ans .

Son épouse lui promit alors de le rejoindre dans les 5 ans .

Dans la nuit du 25 au 26 mars 1996 elle tint parole et, à un jour près, elle s'éteignit paisiblement à 87 ans

C'est le 26 aussi que Michel , leur fils aîné, s'en ira en juin 1999. 

Voilà 3 êtres exceptionnels que j'ai profondément aimés.

Qu'ils vivent en paix  de l'autre côté du voile .

Du côté de Renvyle

Sean, Claire, Anne B, Léo et Anne S : une chaleureuse soirée chez Claire et Léo après le diner raffiné et le délicieux gâteau qu'Anne S a confectionné sans farine et sans beurre ! Surprenant, pour la Bretonne que je suis...On apprend chaque jour.

Un texte d'Elisabeth Sens , astrologue, peintre, artiste

 De près ou de loin,

D’ici ou d’ailleurs le souffle de vie incompréhensible nous anime …

La Personnalité fluctue ( mise en forme des mémoires lunaires) , l’identité ( ascendant) enfile ses fringues et s’incarne ici bas…Aux portes saturniennes point encore transgressées, la lune et l’ascendant s’agitent, se prennent pour quelqu’un, jusqu’à ce que la conscience solaire s’intensifie et brûle l’imaginaire…( et l’illusion du libre arbitre)

Voir, clairement que l’expérience donne raison à nos croyances , que nos croyances se manifestent dans l’expérience….jusqu’à la destruction des formes pensées existentielles …

Vertigineux et vertueux touché visionnaire libérateur, salvatrice évidence divine…

Sentir l’astre au logis comme une grâce qui nous hisse hors de l’illusion des formes et propulse l’esprit vers l’absolu Insaisissable qui s’incarne sans nom ni revendication au Service du vivant

Une chanson de Marine à écouter bientôt

 J’ai pas le bon appart

J’ai pas la bonne adresse
T’as voulu qu’on parle
T’étais pas à l’aise
J’ai filé à l’anglaise
J’ai couru quelque part
Chacun sa recette
Chacun sa mayonnaise

J’t’aime pas toi
Je m’ennuie quand tu me parles toi
Sur un coin de trottoir, chais pas
Cache la marque de ton sac
Ton monde ne me regarde pas
Tu regardes pas dans mon monde
Tu vas à Doubaï
Tu pars à Londres
J’réponds « ça fait un bail »

J’t’aime pas toi
J’te parle pas
Tu crois quoi
J’t’aime pas toi
Y a pas d’espace
Pour toi dans mon Sofa
Je vois pas
Pourquoi tu m’aimes car
J’t’aime pas toi
J’te parle pas
Tu crois quoi
J’t’aime pas toi
Y a pas d’espace
Pour toi dans mon sofa
Je vois pas
Pourquoi tu m’aimes, moi

T’as le bon appart
T’as la bonne adresse
T’aurais voulu que je reste
T’as fait les mêmes gestes
T’es passée à la caisse
J’ai regardé nulle part
Chacun sa recette
Chacun sa mayonnaise

On devrait plus jamais
Se croiser dans le quartier
Ou t’as qu’à faire semblant de pas me voir
T’as qu’à regarder tes pieds
Sortir un mouchoir
Ou refaire ton make up, j’sais pas

T’as le bon appart
T’as la bonne adresse
Tu m’as sapé le moral
T’as pas passé les tests
J’ai juste dit « j’te laisse »
T’as dit « on s’appelle »
Chacun sa messe
Chacun sa chapelle

Marine Bercot 

Jean François Bergery

 Le mari de Teddy 

Le père des enfants que je gardais à New York à 20 ans 

Aurait aujourd'hui 95 ans . March 24th /1928 - November 5th /1975

Il n'avait donc que 35 ans quand je le connaissais et il me semblait vieux !!!!!

Posté par son fils Nicholas 

Le destin

 "Ce n'est qu'après ma maladie que je compris combien il est important d'accepter son destin . Car ainsi il y a un moi qui ne flanche pas quand surgit l'incompréhensible. Un moi qui tient bon, qui supporte la vérité et qui est à la hauteur du monde et du destin. Alors une défaite peut être en même temps victoire. Rien n'est troublé, ni au dedans ni au dehors, car notre propre continuité a résisté au fleuve de la vie et du temps. Mais cela ne peut se produire que si notre prétention n'interdit pas au destin de manifester ses intentions."

Jung , Ma vie

Toutes les réactioPar un Curieux Hasard - Stephan Schillinger et 1,5 K autres personne

La première journée

Du matin  au soir 

                                                          Toute la journée,  un bain de beauté

Diner de Bienvenue

Chez Anne et Sean dans un cottage qu'on ne voudrait jamais quitter 

Endives au jambon servi en Irlande avec des pommes de terre ! 

                       Merci Anne pour ce plat belge traditionnel si délicieux par temps pluvieux ! 

On my way back home

                                                            Les turbulences de la Terre sous le Ciel serein 

Mère et fils

 Julie et Pablo G. Une de leurs dernières promenades en pays varois avant qu'il ne s'entre au Collège aux Etats Unis . C'est elle qui a assuré toute sa scolarité . Grâce à elle  et avec elle, il a beaucoup voyagé , beaucoup expérimenté et va maintenant choisir dans quel cadre il servira le mieux cette humanité . Ils peuvent être fiers l'un de l'autre et l'une de l'autre . L'amour qui s'est déployé entre eux deux, entre eux trois, car Laurent a accompagné cette démarche si consciente, m'a plus d'une fois bouleversée. Bravo Julie que je connais depuis plus de 30 ans déjà , maître en éducation. Bon vent Pablo, frère de Sophie,  petit fils de coeur, que j'ai vu bébé en 2006 en Nouvelle Calédonie , un des bonheurs de ma vie . Un honneur aussi. Et un Merci d'avance pour Celui que tu deviendras , pour Celui qui est déjà là.

La Lumière c'est NOUS

Pour moi ceci est une évidence, une profonde conviction . Vivre autant que possible sous l'égide de l'âme C'est la seule politique qui vaille-  - On finira par y arriver - Il ne tient qu'à chacun de nous de manifester un monde meilleur . 
 

Paris saccagé

"Haut les cœurs et que les cornichons retournent au vinaigre." nous dit-il .

Dans Paris, Paris dégoutant
Oui seuls les rats sont contents
Et le Paris du Grand Charles outragé
C'est un Paris saccagé

Dans Paris, Paris dégoutant
Seuls les rats sont contents
Ils savent qu'ici les végans pas idiots
Les nourrissent qu'avec du bio
Pour traverser les tranchées les travaux
C'est pire que le col de Roncevaux
Les déjections qui fleurissent les trottoirs
Décorent ce grand dépotoir

Pauvre Paris, Paris enlaidie
Dans quel état ils t'ont mis
Ils avaient promis le Nirvana
Et c'est la Bérézina

Où est tu Paris, lumières des cités
Qui était de la France la bergère

Quand des crétins frappés de cécité
Firent de toi une pétaudière
Les plastocs jaunes, les affreux bitoniaux
Qui bornent les pistes à vélo
Les plots de béton, le piéton prend du shtar
Sont d'authentiques œuvres d'arts

Pauvre Paris, Paris enlaidie
Toi qui fut le paradis
Te voila fringuer Waterloo
Par nos gentils écolos

Y'en a qui écrivent des conneries sur les murs
Ceux qui ont rêvé d'être Arthur
Et d'autres qui se prennent au feutre ou au pinceau
Pour Baudelaire ou Picasso
Rue de Rivoli devenue rue de Ri-vélo

L'ambulance a du boulot
Ça grille les feux vélos et trottinettes
Au carrefour font des omelettes
Dans Paris l'hiver comme l'été
On touche pas à la saleté
Les vieilles télé, les tonnes de détritus
S'empilent gaiement dans les rues

Pauvre Paris devenue si cracra
On sait bien qui t'a fait ça
C'est les cranes de piafs dégourdis
Qui bouffent des graines à la mairie

Dans Paris, Paris rapiécé
C'est la mocheté qui est passé
Les bancs publics et les fontaines Wallace
C'était pas si dégueulasse
C'est à Barbes, la Chapelle, Stalingrad

Qu'on trouve les squats les plus crades
Et dans les squares où plus un enfant joue
Y a que les seringues et plus de nounous

Dans Paris, Paris dégoutant
Oui seuls les rats sont contents
Et le Paris du Grand Charles outragé
C'est un Paris saccagé