Au secours .Vite la brise marine ! Vite un shot de curcuma/gingembre avant que je ne me dissolve et de chaleur et de bonheur!
Nous sommes au Zest. La plage est déserte. Les rouleaux sévères en cette veille de pleine lune .
"Au pied de mon arbre, je vivais heureux" disait le poète et nous faisons de même , moi et Mary au pied de celui-ci
3 jeunes beautés à l'ombre du bar, 3 beautés à aimer juste pour s'entraîner à aimer tout, à aimer tous, en permanence. .Je n'ai rien d'autre à faire.
Il fait si chaud qu'il y peu de monde .Que tout semble allégé.
Il ne me manque rien. L'extase n'est pas loin !
. Est-ce à dire que la sérénté nous vient quand on a perdu tout désir ?
Ou lorsqu'on ne craint plus rien, ni la pauvreté, ni la mort ? Parce qu'on ne s'appartient même plus. Du fait qu'on s'est rendu. Que tout est égal, qu'on ne pense même plus ....Qu'on a qu'à faire confiance et Etre.
Ca me ramène à cette pensée du Philosophe français Jean Klein (1912-1998) que je relisais cette semaine : "Nous sommes complètement inconscients de notre véritable nature parce quenous nous identifions à notre corps , à nos émotions et à nos pensées , perdant ainsi de vue notre centre immuble, qui est pure conscience"
Et si c'était vrai comme ça semble bien l'être, comment vivre en ce centre en permanence? J'observe, j'apprends, j'expérimente. Ce qui est précieux ici c'est que j'ai plein de TEMPS.
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