La mule et le puit

 

This parable is told of a farmer who owned an old mule. The mule fell into the farmer’s well. The farmer heard the mule braying as a call for help.

After carefully assessing the situation, the farmer sympathized with the mule, but decided that neither the mule nor the well was worth the trouble of saving. Instead, he called his neighbors together, told them what had happened, and enlisted them to help haul dirt to bury the old mule in the well and put him out of his misery.

Initially, the old mule became hysterical. But as the farmer and his neighbors continued shoveling and the dirt hit his back, a thought struck him. It suddenly dawned on him that every time a shovel load of dirt landed on his back, he would "shake it off and step up".

This he did, shovel full after shovel full, “shake it off and step up… shake it off and step up… shake it off and step up”, he repeated to encourage himself. No matter how distressing the situation seemed, the old mule fought panic and just kept right on "shaking it off and stepping up". And it wasn’t long before the old mule, battered and exhausted, stepped triumphantly over the top wall of the well. 

Unknown

 

Cette parabole raconte l'histoire d'un fermier qui possédait une vieille mule. La mule tomba dans le puits du fermier. Le fermier entendit la mule braire pour appeler à l'aide.

Après avoir soigneusement évalué la situation, le fermier sympathisa avec le mulet, mais décida que ni le mulet ni le puits ne valaient la peine d'être sauvés. Au lieu de cela, il réunit ses voisins, leur raconta ce qui s'était passé et leur demanda de l'aider à transporter de la terre pour enterrer le vieux mulet dans le puits et mettre fin à ses souffrances.

Au début, le vieux mulet devint hystérique. Mais alors que le fermier et ses voisins continuaient à pelleter et que la terre lui tombait sur le dos, une pensée lui vint à l'esprit. Il se rendit soudain compte qu'à chaque fois qu'une pelletée de terre lui tombait sur le dos, il « se secouerait et se relèverait ».

Il le fit, pelletée après pelletée, « secoue-toi et avance… secoue-toi et avance… secoue-toi et avance », répétait-il pour s’encourager. Peu importe à quel point la situation semblait pénible, le vieux mulet luttait contre la panique et continuait à « secouer-toi et avance ». Et il ne fallut pas longtemps avant que le vieux mulet, battu et épuisé, franchisse triomphalement la paroi supérieure du puits. 

Inconnu