Gustave Flaubert fait décrire à Mathos, dans le chapitre IX de son roman Salammbô, cette « île couverte de poudre d'or, de verdure et d'oiseaux, où les citronniers sont hauts comme des cèdres [...] où l'air est si doux qu'il empêche de mourir ». Son climat lui vaut d'ailleurs le surnom de Djerba la douce.


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