Comme si c'était chez eux !
Je chantais mes peines sur le banc d'la cité
Je rêvais de Paris et d'en faire mon métierEt quand venait l'été, je traversais la mer"Faut savoir d'où tu viens, mon fils, comme disait mon père
Je chantais dans ma chambre, j'avais fermé la porteJe criais mes démons, que le diable les emporteEt quand venait l'été, je traversais la mer"Andiamo in macchina", comme le disait ma mère
Comment c'est chez toi, mon frère?Pas si différent, mon frèreJe t'aime, même si j'en ai pas l'airMais c'est mieux quand t'es làBeaucoup mieux quand t'es là, mon frère (bis)
Les boulevards effrayants, les pavés de ClichyLe petit menuisier accompagné de ses amisEt si c'était là-bas que je crierais mes démonsQu'on se retrouvera tous les deux, à faire les cons
C'était la dernière chance, un dernier rendez-vousLes rêves, c'est fatigant, mais moi, je tenais le coupEt si c'était là-bas qu'on entendait mes peinesEt si c'était comme ça que la vie est plus belle
Comment c'est chez toi, mon frère?Pas si différent, mon frèreJe t'aime, même si j'en ai pas l'airMais c'est mieux quand t'es làBeaucoup mieux quand t'es là, mon frère (bis)
Tout nous séparait, ils diront que c'est pas vraiMais je t'aime quand mêmeTout nous séparait, ils diront que c'est pas vraiMais je t'aime
Comment c'est chez toi, mon frère?Pas si différent, mon frèreJe t'aime, même si j'en ai pas l'airMais c'est mieux quand t'es làBeaucoup mieux quand t'es là, mon frère (bis)
Une chanson de Claudio Capéo qu'il chante en duo avec Slimane
Bravos mes très chéris .

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