Sur la plage de Palolem il y a des vagues relativement fortes . Ce n'est pas un paradis de surfeurs pour autant, mais il n'est pas forcément aisé de passer de l'autre côté pour pouvoir, comme je veux le faire, nager en eaux calmes. J'ai plusieurs fois essayé, Bombard de pacotille, de passer la barre, sans succès. A chaque fois, il a fallu que des nageurs me secourent, me relèvent, mon pied n'ayant pas la force bien sûr, de faire face à la puissance des vagues écumantes Mais hier avec les béquilles ramenées en moto par Somesh de son village natal du Karnataka, j'étais, en taureau têtu, déterminée à y parvenir. Je rentrerais dans l'eau, j'avancerais béquillée, ce soutien me permettrait de faire face aux turbulences du courant . Bien mal m'en a pris. J'en ai passé une venue s'écraser à mes pieds et j'ai pu avancer de 2 mètres, mais quand la 7eme déferlante est arrivée, la plus forte, dit-on, j'ai été blackboulée, elle m'est passé sur la tête et en un rien de temps m'a terrassée. Mes bras emprisonnés dans la béqulle auraient pu se briser tant le choc m'a déstabilisée. Le Maître nageur a sifflé. Vite, des touristes anglais se sont portés à mon secours. J'avais crée le spectacle rivalisant avec le soleil couchant. Médusés, les gens me regardaient, inquiets ; comment avais-je même pu songer y parvenir ??? J'étais si sonnée que je suis restée longtemps trempée assise sur une chaise qu'un des serveurs m'avait avancée tout au bord de la mer. Jusqu'à en frissonner. Alors je me suis rhabillée vaguement, ai commandé une soupe chinoise, et ai trainaillé avant de me coucher .
Cool Reflexions from a cool Granny living in a cool country the Djwaal Khool way
vendredi 8 décembre 2023
Les vagues
Sur la plage de Palolem il y a des vagues relativement fortes . Ce n'est pas un paradis de surfeurs pour autant, mais il n'est pas forcément aisé de passer de l'autre côté pour pouvoir, comme je veux le faire, nager en eaux calmes. J'ai plusieurs fois essayé, Bombard de pacotille, de passer la barre, sans succès. A chaque fois, il a fallu que des nageurs me secourent, me relèvent, mon pied n'ayant pas la force bien sûr, de faire face à la puissance des vagues écumantes Mais hier avec les béquilles ramenées en moto par Somesh de son village natal du Karnataka, j'étais, en taureau têtu, déterminée à y parvenir. Je rentrerais dans l'eau, j'avancerais béquillée, ce soutien me permettrait de faire face aux turbulences du courant . Bien mal m'en a pris. J'en ai passé une venue s'écraser à mes pieds et j'ai pu avancer de 2 mètres, mais quand la 7eme déferlante est arrivée, la plus forte, dit-on, j'ai été blackboulée, elle m'est passé sur la tête et en un rien de temps m'a terrassée. Mes bras emprisonnés dans la béqulle auraient pu se briser tant le choc m'a déstabilisée. Le Maître nageur a sifflé. Vite, des touristes anglais se sont portés à mon secours. J'avais crée le spectacle rivalisant avec le soleil couchant. Médusés, les gens me regardaient, inquiets ; comment avais-je même pu songer y parvenir ??? J'étais si sonnée que je suis restée longtemps trempée assise sur une chaise qu'un des serveurs m'avait avancée tout au bord de la mer. Jusqu'à en frissonner. Alors je me suis rhabillée vaguement, ai commandé une soupe chinoise, et ai trainaillé avant de me coucher .
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