31 ans nous séparent ....Rien d'autre !
Cool Reflexions from a cool Granny living in a cool country the Djwaal Khool way
dimanche 30 juin 2024
Un nouveau monde
"I allow myself to hope that the world will emerge from its present troubles, that it will one day learn to give the direction of its affairs, not to cruel swindlers and scoundrels, but to men possessed of wisdom and courage. I see before me a shining vision: a world where none are hungry, where few are ill, where work is pleasant and not excessive, where kindly feeling is common, and where minds released from fear create delight for eye, ear and heart. Do not say this is impossible. It is not impossible. I do not say it can be done tomorrow, but I do say that it could be done within a thousand years, if only men would bend their minds to the achievement of the kind of happiness that should be distinctive of man".
samedi 29 juin 2024
Rift
Rift Valley @ riftvalleymusic
Owner of this transactional realm
When will you choose to lose yourself
Will you dare to fall into the night again
Your powers of the light inside a void of fright
Sparks be predicted
With the fire in our hearts addicted
To the journey of your mind
Owner of his transactional time
A smile isn't all in the silence sublime
Awaken to your call
To gather your storm
And avenge the night
Hidden inside
Find your voice of premonition
Mahamaya
Owner of this transactional realm
When will you choose to lose yourself
Mon Roi
Mon Roi (Chérie 25) - Emmanuelle Bercot : "J’étais persuadée qu’à l’écran mon couple avec Vincent Cassel ne serait pas crédible"
Les histoires d’amour finissent mal… en général. Et, à coup sûr, lorsque le verbe "aimer" se conjugue en mode toxique. Tout avait si bien commencé entre Tony, l’avocate réservée, et Georgio, le restaurateur flamboyant à qui rien ni personne ne peut résister, tant son charme irradie. Qu’un tel homme la choisisse a évidemment intrigué cette trentenaire introvertie. Pourquoi elle ? C’est la question qu’Emmanuelle Bercot, cinéaste et scénariste reconnue, a posée à son amie Maïwenn (elles ont coécrit ensemble Polisse), qui l’a choisie pour interpréter le rôle de cette femme amoureuse sous influence. "J’étais persuadée, à tort, qu’à l’écran le couple ne serait pas crédible. Un Cassel ne pouvait pas tomber amoureux d’une Bercot ", confie-t-elle. Faux, lui répond la cinéaste :"Emmanuelle a un regard très innocent qui correspondait exactement au personnage de Tony, qui a des rêves romantiques de petite fille : c’est pour ça qu’elle ne se remet pas de ce que lui fait vivre Georgio."
Une passion destructrice
Au contact de ce mec plus ultra, Tony se sent pour la première fois femme et s’aperçoit qu’elle n’avait jamais aimé avec un grand A. Georgio embellit sa vie, en fait un conte de fées et, se faisant, lui fait perdre, petit à petit, ses repères et l’éloigne de ses proches. Tony n’ouvrira les yeux qu’après un accident de ski survenu après une énième crise conjugale dont l’intensité n’a cessé d’aller crescendo. Car, après les premiers mois idylliques, un mariage parfait, les deux amants ont été rattrapés par le tempérament erratique et autocentré de Georgio. Immobilisée dans un centre de rééducation, la jeune femme, en pleine reconstruction, physique et psychique, repasse le film de leur histoire d’amour chaotique.
Même si la réalisatrice reconnaît que le personnage de Georgio, incarné à la perfection par Vincent Cassel, est un pervers narcissique, elle ne conçoit pas son film comme une radiographie de cette pathologie, mais plutôt comme l’autopsie d’une passion destructrice, la peinture d’un amour impossible. C’est le point de vue qu’a choisi l’acteur, qui s’est fait l’avocat de Georgio : "Mon personnage n’est pas un salaud", clame-t-il. À ses yeux, c’est un homme qui jongle avec toutes ses contradictions, c’est un jouisseur sans entraves, qui comprend qu’il fait du mal mais ne peut pas faire autrement. On peut lui objecter que l’on ne partage pas son analyse.
Reine de Cannes
À l’écran, chaque scène est d’une vérité troublante. Formée à l’école de Claude Lelouch, Maïwenn est adepte du cinéma vérité : tout est écrit, mais ses acteurs improvisent avec leurs mots et, forcément aussi, leurs maux. La cinéaste laisse tourner la caméra, pousse ses acteurs dans leurs retranchements. Et Cassel apprécie cela : "Maïwenn veut que ça déraille, qu’il y ait des incidents… " Emmanuelle, elle, reconnaît être sortie épuisée épuisée du tournage : "Avec Maïwenn, on vit autant qu’on joue. On ne triche pas. Les scènes, très dures émotionnellement, me vidaient." L’actrice sait ce qu’elle lui doit : son meilleur rôle, et la preuve qu’elle est aussi une grande actrice. À Cannes, le jury l’a sacrée reine du festival 2015 en lui décernant le Prix d’interprétation féminine.
Mon Roi : jeudi 27 juin à 21h05 sur Chérie 25
Julien Barcilon
vendredi 28 juin 2024
Yeux bleus 1 et 2
@carlalegay merci pour tout ❤️🔥 j’arrive 🧳
Ma mère et mes sœurs
j’ai 13 morceaux finis qui attendent juste que vous écoutiez&partagiez au max Yeux Bleus 2 pour sortir
- 👁️ C’est un grand jour, mon EP Yeux bleus 2 est sorti ça fait toujours du bien. J’ai hâte que ceux qui écoutent écoutent, hâte de savoir quels sons vous préférez etc je suis vraiment content de moi aujourd’hui
@mathieubameulle au mastering merci Frero 👮🏼♂️
Et j’sais c’est pas les Cesars ici mais Jmen fous je vais remercier publiquement @via_flavien pour tout ce qu’il y autour car la musique c’est beaucoup mais c’est rien
@carlalegay merci pour tout ❤️🔥 j’arrive 🧳
Ma mère et mes sœurs
j’ai 13 morceaux finis qui attendent juste que vous écoutiez&partagiez au max Yeux Bleus 2 pour sortir
Belle journée 👁️💙
Yeux bleus 2
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Préparatifs de la fête
Nicolas épluchera et coupera les saucissons
Après avoir préparé les salades de lentilles, de pommes de terre, la salade grecque, le taboulé avec Steph , Camille et moi, Marine installera les lumières
Photo de famille
La famille de Stéphane ( 50) et de Sébastien (49) : Les deux grands Nicolas et Camille ( 24 en octobre et 26 ans )
Les deux moyens : Léo et Etienne ( 20 et 18 ans ) Les deux petits : Maxime et Lucas ( 10 et 7 ans en sept.)
204 ans d'expériences à eux tous !
jeudi 27 juin 2024
Les oeuvres de Lucas
Nous sommes allé écouter la chorale des CE2 de l'école primaire de Mûriers et voir les oeuvres des jenes élèves exposées. Lucas n'était pas peu fier de les ramener à la maison . Voici entr'autres :
Entre 13 et 27 °
Il pleut sur Clifden et ses 13 degrés d'après cette photo d'Alice .
Inutile de vous dire que je profite de mon court séjour en Terre bienveillante..
Expirez le
La respiration de l'amour : il me semble qu'elle nous est donnée ; pour ma part, l'amour, je l'inspire par le centre coronal . Ensuite il trouve tout seul le chemin du coeur, emplit le centre cardiaque. De là, je trouve plusieurs façon de l'expirer: soit en paroles douces, tendres, sincères, justes (puisqu'en passant il a vitalisé le centre laryngé) soit en actions diverses et variées, empathiques, généreuses (puisque les bras pour embrasser, les mains pour caresser, pour créer, pour offrir, pour construire, pour cuisiner, pour faire, sont à la même hauteur que ce coeur donc il suffit de le laisser couler). Personne ne pourra jamais nous prendre ce que l'on a donné.
mercredi 26 juin 2024
25 ans déjà
Pour Michel 24 janvier 1940- 26 juin 1999:
Le Petit Prince - St Exupéry 1943
Cette nuit-là, je ne le vis pas se mettre en route. Il s’était évadé sans bruit. Quand je réussis à le rejoindre, il marchait, décidé, d’un pas rapide.
Il me dit seulement :
― Ah ! Tu es là …
Et il me prit par la main. Mais il se tourmenta encore :
― Tu as eu tort. Tu auras de la peine. J’aurai l’air d’être mort, mais ce
ne sera pas vrai …
Moi, je me taisais.
― Tu comprends. C’est trop loin. Je ne peux pas emporter ce corps-là.
C’est trop lourd.
Moi, je me taisais.
― Mais ce sera comme une vieille écorce abandonnée.
Ce n’est pas triste les vieilles écorces.
Tant de choses vivent que tu nous as transmises, données, laissées, inspirées .Merci Merci .
Ta vieille écorce, crois-moi, nous enveloppe et nous protège encore. Et tu demeures ma VIE. Je n'en reviens toujours pas du privilège que j'ai eu de vivre près de toi dès 1963. Ta lumière éclaire quotidiennement cette route qui désormais me rapproche de Nous.
Et il y a, pour mon plus grand bonheur, du Toi dans ces deux derniers petits enfants là. Les enfants de Stéphane, que tu ne connais pas autrement que de là-haut, là-bas !
Sois béni du fond de tous nos coeurs, toi l'intrépide voyageur intérieur. Le "chercheur de Vérité "comme ton âme t'avait renommé. "L'Amour manifesté " comme je t'avais rebaptisé, et comme on a pu, nombreux, l'expérimenter. Au point de pouvoir dire que cette "inconditionnalité", cette universalité, cette globalité nous a permis de nous détacher de nous-même tant tu nous as fait découvrir à travers ton regard nouveau, l'UN que nous étions, tant tu nous auras donné l'opportunité de nous façonner consciemment. Tant dans tes accolades tu nous as soulevés de terre pour nous y ancrer mieux, avec cette douceur qui transformait toute douleur en douceur. C'est dire que tu nous as donné des ailes et qu'un quart de siècle plus tard on a gardé l'élan insufflé par cette lumière claire et froide de l'AMOUR que nous a transfusé l'incomparable et courageux guerrier.
Bons baisers de Paris
Frère et soeur : Camille et Nicolas
Seb et ses deux petits : Maxime et Lucas
mardi 25 juin 2024
En route
J'ai quitté Dblin sous la pluie et sous 14 degrés bien emmitouflée . de ma vie je n'ai jamais - et Dieu sait si j'ai voyagé- mis autant de temps a passer à travers une couche de nuages d'une épaisseur telle . Ca nous a pris des plombes, plus de 10 minutes à la vitesse du boeing pour déboucher sur un " patch of blue" puis se frayer un nouveau chemin dans de nouvelles couches nuageuses avant de débarqer enfin en plein ciel bleu
Bientôt nous étions à Paris . 26° - Grand soleil dans le jardin - Pour un apéro puis un diner d'anniversaire près de la mini piscine. Un autre monde
Odile, la jeune maman de Sébastien, Sébastien, Stephane, Anne et Camille .
Prendre du recul
"On s'aperçoit qu'il suffit de faire un pas en arrière dans sa conscience, juste un petit mouvement de retrait, et l'on entre dans une étendue de silence par-derrière.